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Les Nouvelles d’Où Qu’Elles Viennent Sont Formelles . En leur Phare ne Recèlent Nulle Gloire . Les Divisions de l'Illusion Pénètrent en Force l'Intimité se Déchargeant de Tout Égard Devant le Seuil de ce Sanctuaire . L'Inceste de l'Esprit a Pris le Pas sur l’Ingérence et Mis la Main sur le Dessein de l’Innocence . Quant aux Pare-Feux de la Conscience ? Se Sont Murés dans l'Allégeance . Face à l’Assise de l’Absence et l’Entreprise du Silence Jurisprudence Est Sans Appel : État d'Urgence Providentielle !
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Jadis Espoir Je Nourrissais Que de la Bouche d’Expérience Consciencieusement Émergerait Autre Que Douche d’Indigence . Or il ne Coule Eau de Fontaine Originelle en Son Élan Qui dans Sa Course Telle l’Antenne Mêle la Source aux Quatre Vents . Se Jouent Là sur le Tard les Dernières Volontés d’un Arpège en Son Phare un Signal Ereinté d’Avoir Usé Toutes Ses Cordes sur Cette Note Où l’On S’Accorde à Perdurer à Perpétuer l’Écho de l’Infertilité . Est à Entendre à l’Évidence Qu’il Est à Tendre à Providence Extrait de la Présence : Son Acte d’Innocence .
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Ainsi Naquit une Étincelle Doublée d'un Sablier . Elle Déclara à l'Éternel : « Ce Temps Est Terminé ! Encager Mon Plumage dans les Rangs des Carcans ? Engager Mon Sillage dans les Flancs du Néant ? Lorsque le Vice Souille la Graine Courroucée du Silence Obscène de la Missive Restée Muette au Crépitement de l'Allumette Est la Prémisse Exécutive Affirmative et Afflictive : l'Alternative Expéditive de l'Ogive Cognitive ! » Il Est Esprit Moins le Quart Sur le Cadran des Astres . Et l'Âme Est à des Lustres de Son Azimut .
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Suivez l'Index
Et Observez​
Le Silence
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Introspection & Évidence ?​
Ou Injonction & Échéance ?
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Sur le Front de l'Esprit
La Plume Emblave
Sur le Pont de l'Oubli
Lacune Engrave
L'Amour Est aux Abords un Matelot en Herbe . Comme Il Est à Son Port un Pas Que Beau Imberbe . Soif de se Mettre en Âge et de se Hisser Haut Il se Jette à la Nage et Écume les Flots . Émergé de la Croûte Il Largue les Amarres et Plonge dans la Voûte pour Embrasser l'Espoir . Il Draguera l'Eau Vive en Quête d'un Trésor . Ne Reverra les Rives Qu'un Butin à Son Bord . L'Amour Soulève ! L'Amour Relève ! Il Veut Soustraire Il Veut Extraire ! L'Amour Assive ! L'Amour Cultive ! Il Veut Instruire Il Veut Inscrire : Chaque Pas Sage et Expérience Chaque Rouage Toute Science Écrire en Marge de Nouvelles Pages Toutes Ses Lettres d'Or au Grand Livre de Bord . L'Amour n'a de Cesse de Poursuivre Son Œuvre : Il Scrute l'Étoile et Règle Son Sextant . L'Amour n'a de Liesse Que pour la Manœuvre : Il Ajuste Ses Voiles et Écoute le Vent . Il Est aux Cartes et au Trident Prend Bat et Contre la Mesure ! Il Suit les Ondes et les Courants et Veille à Son Allure ! Qu'Il Barre à Bâbord ! Qu'Il Tire à Tribord ! Mènera Son Sillage aux Plages du Présage ! L'Amour Sait Rassembler les Routes Indigestes d'un Passé Sabordé Ou d'un Destin Funeste . Aux Lames de Tempête Il Verra dans la Perte : Adresse dans le Voyage Sagesse dans le Naufrage . À l'Arrêt dans la Brume au Trépas des Tourments aux Gifles des Lacunes au Gré des Maux du Temps Qu'Importe Sa Voilure aux Griffes de la Déchirure : Jaillira de l'Écume un Gréement de Fortune ! Alors Quand d'Aventure Proue Viendra à Croiser les Bannières Mortifères des Chimères du Néant : À l'Heure Devant Augure l'Amour Sera Épée de Foudre et de Tonnerre Sans Peur ni Sentiment . Car l'Amour ne Tolère Que l'On Puisse Enliser l'Élan de Son Sillage aux Relents des Carcans . Non ! L'Amour ne Tempère Lorsqu'On Ose Présager Abîmer Ses Adages au Marais Dessalant ! L'Amour Est une Lettre une Missive à la Mer . Il Est une Fenêtre Lunette à Ciel Ouvert . Il Est la Chaloupe des Flammes en Berne . La Lanterne la Coupe des Âmes en Peine . Il Est le Phare dans le Brouillard . Une Bouteille sur le Rivage . À l'Orée du Hasard : le Pont et le Message . Oui Mêêêhhh ... Lorsque du Chant du Bois d'Ébène n'Émerge Que le Refrain Rance et Dolent du Poids des Chaînes d'une Peau de Chagrin . Lorsque les Drisses d'Émergence Glissent aux Abysses du Silence et Lorsqu'au Mât de l'Espérance Flottent les Voiles de l'Absence . Lorsque d'Esprit et d'Appétence : il Est Débat d'Inconsistance . Lorsque d’Envie et de Vaillance : il Est État d'Incontinence . Lorsque la Cale Prend la Fuite à Contre-Lame de Poursuite Qu'il ne Résulte de l'Élan Que Vague et Vent de Démission . Lorsque la Barre de l’Ellipse Plonge sans Âme dans l'Éclipse Qu’il ne Résulte de Tout Flanc Que Rame en Rang de Soumission . Lorsqu'il ne Reste de Compas et Sonde Que l'Enclave ! Lorsqu'il ne Reste au Bout du Cap Que l'Onde d'un Esclave ! Alors Qui dans son Inconscience Ou dans son Ignorance ? En Telles Proportions ! Appelle à Compassion ? Sont-ce les Records du Silence ? Ou les Remords de l'Innocence ?
Juste Avant de Quitter le Nid et de Plonger dans l'Infini . Juste Avant de Mettre les Voiles et de Filer vers les Étoiles . Il Est une Élégance Vers Qui se Retourner . Il Est une Importance de Te Témoigner . Toi Qui dans le Silence de la Compassion Souris à l'Inconscience et Souffles la Leçon . Toi Qui Délies les Chaînes au Gré des Illusions . Toi Qui Dédies la Graine au Germe de l'Horizon . Toi Qui Fais Jaillir l'Étincelle . Toi Qui Fais Naître le Chemin . Toi Qui du Bas de Ton Échelle Livres les Clefs du Magicien . Toi Qui Portes l'Essence et le Corps le l'Alpha . Pointes en Toute Innocence le Nord et l'Oméga :
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Il Est Cet Or Qui n'a de Prix . Il Est Ce Tant à Rendre Grâce . Il Est Cette Heure de Candeur Où Je Dois Te Mettre à l'Honneur . Il Est Ce Tort et Ce Mépris . Il Est Ce Vent Cinglant de Glace . Il Est Cette Affre de Froideur Offrant de se Mettre à Hauteur . Il Est Cet Élan Déployé Qui ne Va Jamais en Arrière ! Il Est Ce Temps à Exaucer : Libérer Tes Belles Prières . Il Est Cet Air de Vérité . Il Est Ce Retour Engagé ! Aux Ailes de l'Enfance ! À l'Envolée de l'Innocence !
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Depuis Combien de Temps n'as-Tu Porté Aucun Espoir ? Et Pour Combien de Tant Encore Aucun Égard ? Pour l'Enfant Qui Te Tend la Vie ou pour Autrui Qui dans l'Ennui Crie Toute sa Détresse Quand l'Ombre Déverse Temps de Vents de Travers ! Tant de Tant Sur la Terre ! N'y a-t-il Rien Qui Interpelle alors Que Tout Vacille ? Et les Ailes en Appel Qui S'Égosillent :
Lune Après Lune ! Lacune Après Lacune !
Et le Fer et l'Enfer ! Et l'Enclume sur la Plume !
Croyez-Vous Que l'On Arpente des Joutes Funestes Sans Heurter la Voûte au Mépris de l'Égard ? Croyez-Vous Que l'On Serpente les Routes Célestes Sans Once d'un Doute d'une Échappatoire ? Croyez-Vous Que l'On Recueille Racine Pérenne : Que l'On Puise à la Source à l'Insu du Regard ? Croyez-Vous Que l'On Effeuille à la Cime l'Eden : Acquitté de la Soulte ? Dédouané du Devoir ?
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Partons Enfants ! Loin des Chroniques Lymphatiques ! Loin des Coliques Animiques ! Des Creusets de la Destinée Cherchant la Grâce dans l'Impasse .
Hors de Portée des Macs à Dames . Loin des Pavés Sans État d'Âme . Loin des Trajectoires Illusoires Damant l'Espoir sur le Trottoir . Loin des Ruelles des Restes Errant dans les Poubelles des Ventres Vides . Loin des Gamelles et des Tourments des Invalides du Mal au Bide .
Loin des Foutaises des Terres d'Asile Saluant l'Arme et le Drapeau . Loin des Fournaises de l'Exil Loin des Charniers des Idéaux . Loin des Bergers des Banderoles . Loin de l'Herbage des Troupeaux . Loin des Pensées et des Paroles au Pâturage dans le Mêêêhhh Trop . Loin de Ces Bouches Qui Se Couchent au Bougeoir de la Rhétorique . Loin de Ces Songes Qui S'Allongent dans les Couloirs de l'Alambic . Loin des Conduites Diarrhéiques du Flanc des Contrées Dévoyées Prenant la Fuite Pathétique par la Porte Dérobée .
Loin de l'Élan Restant de Glace Face aux Évents de l'Insolence d'une Indigence Qui se Prélasse aux Carcans de la Complaisance . Loin de la Barre des Gréements Écartant l'Idée de Quitter le Quai Vicié des Agréments des Amarres Maquereautées .
Loin des Artères et des Éthers des Hémisphères Délétères . Loin des Essences et Loin des Sens des Éminences de la Déviance . Loin de la Tourbe de ces Fourbes Cultivant l'Esprit de l'Absence . Loin de ces Fous Qui à Genoux Montrent des Signes d'Allégeance . Loin de l'Épine de l'Échine Qui de la Racine à la Cime S'Incline aux Vents d'Inconvenance Foulant les Champs de la Conscience . Loin de la Course de l'Aorte Qui dans l'Oubli et l'Inconstance Dévie Déroute et Déporte le Fruit la Vie la Co-Naissance .
Loin des Sirènes de la Dérive des Continents Décolorés . Loin des Standards et des Fanfares des Rivages Désenchantés . Loin des Antennes Qui ne Délivrent Que des Images Délavées . Loin des Regards et Loin des Fards des Visages Désenfantés . Loin des Idiomes des Fantômes dont les Syndromes et les Symptômes Portent et Rapportent à l'Évidence une Épidémie d'Ingérence .
Loin des Ficelles des Chandelles . Loin des Pipeaux des Pinocchios . Loin des Bastilles des Langues de Bois dont les Pupilles Sont aux Abois .
Loin du Néant Marquant le Temps à Coups de Semonces bien Frappées . Loin des Rangs Révélant le Tant Tel un Sérum de Vérité .
Loin des Fossoyeurs de Miracle . Loin de la Flamme Fourvoyée . Loin des Embruns de la Débâcle du Pavillon des Naufragés .
Hors de Présage de Boussole Azimutée en Son Non-Sens . Hors de Sillage d'Auréole Ayant Soldé Son Innocence .
Loin de la Main de la Défiance sur le Compas de la Confiance . Loin du Destin de Piètre Hune Échouant Son Mât sur les Lacunes .
Loin de la Longe des Gréements . Loin des Mensonges des Sextants . Loin de Voilure d'Infortune : N'Ayant Jamais Visé la Lune !
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Croyez-Vous Que les Heures Ingénues d'Indulgence ne Continrent en Leurs Flancs Nul Élan d'Impatience ? Croyez-Vous Que les Chœurs Déchus de la Conscience ne Retinrent en Leurs Rangs :
Nul Relent de Silence ?
Alors à l'Heure ? Qu’Adviendra-t-il de la Girouette Lorsque Trompettera Tempête ? S’Élèvera d’une Pirouette Ou Prendra Poudre d’Escampette ? Entendra-t-Elle l’Aile Frêle Lorsque S’Insurgera le Ciel l’Ultime Appel de l’Altimètre à Se Saisir de la Fenêtre ? Face au Faîte des Vents Contraires Veille à l’Allure de son Plumage . À la Décharge de l’Éclair Mène et Azure son Sillage . Devant l’Envolée de la Peur et Sous le Poids de Gravité l’Oiseau Migre en Apesanteur et Prend des Airs d'Éternité .
Fut-il un Temps pour la Becquée ? It Vint un Vent de Vérité . Au Bout du Compte ? Est à Faire Montre . Quant à l'Épreuve ? Elle Est à l'Œuvre . Il Était un Poème en Herbe Assis Sous une Parabole . S'Arracha de Gerbe Acerbe Affranchi du Banc de l'École . L'On Entrevit une Comète Traverser la Voûte du Ciel . Et dans sa Traîne de Paillettes l'On Pouvait Lire :